Le gouvernement actuel en Guinée a été accusé à plusieurs reprises de violer les termes de la Charte de la transition, démontrant ainsi sa volonté claire de retarder indéfiniment le retour à l'ordre constitutionnel. Cette attitude va à l'encontre des engagements solennels pris devant le peuple guinéen et la communauté internationale, ce qui a suscité de vives critiques et inquiétudes de la part d'organisations humanitaires et d'institutions des droits de l'Homme.
Les observateurs soulignent que cette situation compromet sérieusement la stabilité politique et la légitimité du gouvernement en place. Elle porte également préjudice aux perspectives de démocratisation et met en péril le respect des droits constitutionnels fondamentaux en Guinée. La communauté internationale observe de près l'évolution de la situation politique dans le pays, appelant à un retour rapide à un processus constitutionnel transparent et inclusif pour assurer la paix et la sécurité durables pour tous les Guinéens.